Merci mille fois, pour la vie que nous transmet régulièrement, cet art vivant et cette poésie qui suspend. Bonne année pleine de rêves et de plaisirs... Thomas
Je te remercie pour ton agréable commentaire, héroïne du grand Gérard de Nerval ! ;) Au plaisir de revenir sur ton blog poétique puisqu'il semble que nous ayons quelques "intérêts" similaires. En attendant, très bonne année à toi. Bises. E.
Que curiosos videos ...también yo me fotografío los pies y las sombras... Me ha encantado escuchar el mar... Bises... a bientôt !!! Arturo www.lacoctelera.com/galeria59
C'est plus pratique, plus économique, t'écrire ici que donner une réponse a chaque message que tu m'as laissé si gentiment. Tu ne peux pas savoir combien j'ai été heureux en les découvrant, l'un après l'autre, pareils à 'tes pas' sur le sable. Je t'embrasse mon Aurélia!
Deliciosos poemas bailados, dos respiraciones fuertes, la tuya y la del mar, la sombra, el juego, me hubiera gustado ver el dibujo de las huellas en la orilla después del primer baile... ¿Es que siempre te hace sol a principios de año a la orilla de un océano? Genial, Aurélia, genial!!!!!!!!!
"L'EMERGENCE D'UNE THEORIE DE LA NECESSITE DE LA LITTERATURE - Carmen Martín Gaite à travers trois romans (Los parentescos - Ritmo lento - La Reina de las Nieves)" / "LA EMERGENCIA DE UNA TEORIA DE LA NECESIDAD DE LA LITERATURA - Carmen Martín Gaite a través de tres novelas (Los parentescos - Ritmo lento - La Reina de las Nieves)"
"[...] que le fait de penser ne peut être que bouleversant ; que ce qui est à penser est dans la pensée ce qui se détourne d'elle et s'épuise inépuisablement en elle ; que souffrir et penser sont liés d'une manière secrète [...]" Maurice Blanchot, Le livre à venir (1959)
"[...] que el hecho de pensar sólo puede ser trastornador; que lo que hay que pensar está dentro del pensamiento lo que se desvia de él y se agota incansablemente en él; que padecer y pensar están vinculados de alguna manera secreta [...]"
"J'associais la viande au suicide, parce que je m'étais évanouie devant le rayon boucherie et que la viande que j'y avais vue était meurtrie, saignante et emprisonnée dans un emballage en plastique. Exactement comme moi !" Susanna Kaysen, Une vie volée (Girl interrupted, 1993)
"Asociaba la carne con el suicidio, porque me había desvanecido delante de la sección carnicería y que la carne que había visto estaba magullada, sangrienta y presa en un envoltorio de plástico. Tal cual como yo!"
"L'enveloppe, ou la coquille, qui sert à nous protéger, avait été arrachée. Je n'arrivais pas à savoir si c'était moi ou les choses qui avaient perdu leur enveloppe [...]" Susanna Kaysen, Une vie volée (Girl interrupted, 1993)
"La envoltura, o la concha, que sirve para protegernos, había sido arrancada. No conseguía saber si era yo o las cosas quienes habían perdido su envoltura [...]"
8 commentaires:
Merci mille fois,
pour la vie que nous transmet régulièrement, cet art vivant et cette poésie qui suspend.
Bonne année pleine de rêves et de plaisirs...
Thomas
Merci à toi d'être passé par là, d'y avoir laissé ces petites traces, cher partenaire. Très belle année tango, celui que tu te donneras...! Bises.
Bonne Année Aurélia!!! À bientôt? À Paris? Je t'embrasse super fort.
Très belle année 2009, Aurélia. Qu'elle soit pleine de poésie, de danse et d'air marin...
A très bientôt,
Je t'embrasse.
Je te remercie pour ton agréable commentaire, héroïne du grand Gérard de Nerval ! ;) Au plaisir de revenir sur ton blog poétique puisqu'il semble que nous ayons quelques "intérêts" similaires. En attendant, très bonne année à toi. Bises. E.
Que curiosos videos ...también yo me fotografío los pies y las sombras...
Me ha encantado escuchar el mar...
Bises...
a bientôt !!!
Arturo
www.lacoctelera.com/galeria59
C'est plus pratique, plus économique, t'écrire ici que donner une réponse a chaque message que tu m'as laissé si gentiment. Tu ne peux pas savoir combien j'ai été heureux en les découvrant, l'un après l'autre, pareils à 'tes pas' sur le sable.
Je t'embrasse mon Aurélia!
Deliciosos poemas bailados, dos respiraciones fuertes, la tuya y la del mar, la sombra, el juego, me hubiera gustado ver el dibujo de las huellas en la orilla después del primer baile... ¿Es que siempre te hace sol a principios de año a la orilla de un océano?
Genial, Aurélia, genial!!!!!!!!!
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