Esto parecía el fin del mundo
y era el día uno
Luz, luz... mucha luz
Y agua
Mar,
Agua de esperanza infinita
Ahí deambulaba Lara,
La que unos dicen niña y otros hada
Ahí estaba la ternura, el descansar, el amar
La paz
Antes que alumbrar el mar
La luz había traspasado la naranja de la mañana

Y la persiana de la casa de la sierra
Las sombras fotográficas habían paseado alegres

El sol había ayudado al viento a secar la ropa de color,
a pesar de los alambres

Y sin embargo...
Otra vez...
Había topado con este caballo enjaulado

Este alambre desnudo
Sin ropa que proteger
* * *
Ca avait l'air du bout du monde ; Et c'était le premier jour
Lumière, lumière... beaucoup de lumière ; Et de l'eau
La mer ; L'eau de l'espoir infini.
Là-bas Lara déambulait ; enfant ou fée, selon
Là-bas il y avait tendresse, repos, amour
La paix
Avant de venir éclairer la mer ; La lumière avait transpercé l'orange du matin
Et la persienne de la maison de la Sierra
Les ombres photographiques s'étaient promenées joyeuses
Le soleil avait aidé le vent à sècher le linge coloré ; malgré les fils barbelés
Et pourtant ; encore une fois ; elle était tombée sur ce cheval en cage
Ce fil barbelé tout nu ; sans linge à protéger