-RE-SIGNAR-... Exacto! Es justo eso! Gracias Kike.
Nano, "ni de coña" sería...: bueno, no hay expresión tan bestia en francés... Sería: eso: ni de coña! Pero... Kike tiene la misma interpretación que yo... Confirmo! Beso!
Bonjour Aurélia, le poème que vous avez posé là et cela ( sans rapport ou raccord avec l'image),vont et font en choeur et graphie, dessinant des silences entre les mots comme un bouquet de pas de danse; à bientôt: thibault
Merci Aurélia, la synthèse est charmante: n'exclure que l'inacceptance, s'abandonner, mais dans l'enceinte de la vision_ "pour" laisser voler, l'effeuillement d'une ogive introuvable... Qu'est-ce qu'on rigole, en plus, dans ces ruisseaux d'infime: y'a des bulles qui s'éclairent de tendresse, des troubadours reclus dans des labyrinthes de premier plan, des échappées de brise, évocatrices de l'ascendance, des querelles à Brest, et la sangria d'un partage pour s'incliner à persister... Pour peut-être, aller à la mer?
C'est ça, faisons-nous écho, d'une cîme, l'autre, peut-être une avalanche totale en finira-t-elle par ébranler toutes ces ruines du labyrinthe du monde...Et alors, non seulement à la mer, ou dans votre bain de jouvence, vous seriez... délicieuse!
"L'EMERGENCE D'UNE THEORIE DE LA NECESSITE DE LA LITTERATURE - Carmen Martín Gaite à travers trois romans (Los parentescos - Ritmo lento - La Reina de las Nieves)" / "LA EMERGENCIA DE UNA TEORIA DE LA NECESIDAD DE LA LITERATURA - Carmen Martín Gaite a través de tres novelas (Los parentescos - Ritmo lento - La Reina de las Nieves)"
"[...] que le fait de penser ne peut être que bouleversant ; que ce qui est à penser est dans la pensée ce qui se détourne d'elle et s'épuise inépuisablement en elle ; que souffrir et penser sont liés d'une manière secrète [...]" Maurice Blanchot, Le livre à venir (1959)
"[...] que el hecho de pensar sólo puede ser trastornador; que lo que hay que pensar está dentro del pensamiento lo que se desvia de él y se agota incansablemente en él; que padecer y pensar están vinculados de alguna manera secreta [...]"
"J'associais la viande au suicide, parce que je m'étais évanouie devant le rayon boucherie et que la viande que j'y avais vue était meurtrie, saignante et emprisonnée dans un emballage en plastique. Exactement comme moi !" Susanna Kaysen, Une vie volée (Girl interrupted, 1993)
"Asociaba la carne con el suicidio, porque me había desvanecido delante de la sección carnicería y que la carne que había visto estaba magullada, sangrienta y presa en un envoltorio de plástico. Tal cual como yo!"
"L'enveloppe, ou la coquille, qui sert à nous protéger, avait été arrachée. Je n'arrivais pas à savoir si c'était moi ou les choses qui avaient perdu leur enveloppe [...]" Susanna Kaysen, Une vie volée (Girl interrupted, 1993)
"La envoltura, o la concha, que sirve para protegernos, había sido arrancada. No conseguía saber si era yo o las cosas quienes habían perdido su envoltura [...]"
15 commentaires:
burbujas de luz...
beso,
Resignar - volver a signar.
Hay que volver al mismo sitio. La reclusión.
Perfecto Aurélia.
Un abrazo,
Kike
poésie et nudité
Se faire à l’exclusion
La réclusion
(ciertísimo)
Au même
(depende del día)
Accepter – Capituler – Pour peut-être
¡¡¡Ni de coña!!! (¿cómo se dice ni de coña en francés?)
-RE-SIGNAR-... Exacto! Es justo eso! Gracias Kike.
Nano, "ni de coña" sería...: bueno, no hay expresión tan bestia en francés... Sería: eso: ni de coña! Pero... Kike tiene la misma interpretación que yo... Confirmo! Beso!
merci Aurélia :-) thibault
Thige, votre message était très fort... Dommage...
en dépit de Péguy ?
Pour sûr ! D'une autre façon...
Bonjour Aurélia, le poème que vous avez posé là et cela ( sans rapport ou raccord avec l'image),vont et font en choeur et graphie, dessinant des silences entre les mots comme un bouquet de pas de danse; à bientôt: thibault
Je m'incline, Thibault... Merci.
Merci Aurélia, la synthèse est charmante: n'exclure que l'inacceptance, s'abandonner, mais dans l'enceinte de la vision_ "pour" laisser voler, l'effeuillement d'une ogive introuvable...
Qu'est-ce qu'on rigole, en plus, dans ces ruisseaux d'infime: y'a des bulles qui s'éclairent de tendresse, des troubadours reclus dans des labyrinthes de premier plan, des échappées de brise, évocatrices de l'ascendance, des querelles à Brest, et la sangria d'un partage pour s'incliner à persister...
Pour peut-être, aller à la mer?
Ey, Señor Gg ! Je ne saurais comment faire écho à tant de beauté dégustative...! Seulement, oui, en allant à la mer ! Vite !
C'est ça, faisons-nous écho, d'une cîme, l'autre, peut-être une avalanche totale en finira-t-elle par ébranler toutes ces ruines du labyrinthe du monde...Et alors, non seulement à la mer, ou dans votre bain de jouvence, vous seriez... délicieuse!
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