La richesse, c'est comprendre que la solitude est définitivement...impossible! C'est manger de la bonne compagnie...parce qu'on ne peut plus vivre sans manger vraiment...Parce qu'on a cru qu'on pouvait et qu'on s'est créé une solitude de la pauvreté: faisons plutôt le voeux de cette richesse embrassée...
Bonjour Aurélia, attention :-) pain n'est ce pas aussi païn au sens de pays? la solitude est possible, il suffit de suivre son ombre. Merci Aurélia: à bientôt silicone le veut:thibault
L'ombre de la solitude se suit comme on voyage: est-il possible de voyager_ ailleurs qu'à la "merci-d'l'icône"? cette solitude sans remède n'est-elle pas encore l'ombre du retour à l'éternel?... Vivement la fin-du-monde!...
"L'EMERGENCE D'UNE THEORIE DE LA NECESSITE DE LA LITTERATURE - Carmen Martín Gaite à travers trois romans (Los parentescos - Ritmo lento - La Reina de las Nieves)" / "LA EMERGENCIA DE UNA TEORIA DE LA NECESIDAD DE LA LITERATURA - Carmen Martín Gaite a través de tres novelas (Los parentescos - Ritmo lento - La Reina de las Nieves)"
"[...] que le fait de penser ne peut être que bouleversant ; que ce qui est à penser est dans la pensée ce qui se détourne d'elle et s'épuise inépuisablement en elle ; que souffrir et penser sont liés d'une manière secrète [...]" Maurice Blanchot, Le livre à venir (1959)
"[...] que el hecho de pensar sólo puede ser trastornador; que lo que hay que pensar está dentro del pensamiento lo que se desvia de él y se agota incansablemente en él; que padecer y pensar están vinculados de alguna manera secreta [...]"
"J'associais la viande au suicide, parce que je m'étais évanouie devant le rayon boucherie et que la viande que j'y avais vue était meurtrie, saignante et emprisonnée dans un emballage en plastique. Exactement comme moi !" Susanna Kaysen, Une vie volée (Girl interrupted, 1993)
"Asociaba la carne con el suicidio, porque me había desvanecido delante de la sección carnicería y que la carne que había visto estaba magullada, sangrienta y presa en un envoltorio de plástico. Tal cual como yo!"
"L'enveloppe, ou la coquille, qui sert à nous protéger, avait été arrachée. Je n'arrivais pas à savoir si c'était moi ou les choses qui avaient perdu leur enveloppe [...]" Susanna Kaysen, Une vie volée (Girl interrupted, 1993)
"La envoltura, o la concha, que sirve para protegernos, había sido arrancada. No conseguía saber si era yo o las cosas quienes habían perdido su envoltura [...]"
9 commentaires:
¿Y la riqueza?
Un beso,
Kike
Comer - estar con
La richesse,
c'est comprendre que la solitude est définitivement...impossible! C'est manger de la bonne compagnie...parce qu'on ne peut plus vivre sans manger vraiment...Parce qu'on a cru qu'on pouvait et qu'on s'est créé une solitude de la pauvreté: faisons plutôt le voeux de cette richesse embrassée...
Oui, comme dit un être très cher, un être lui aussi parti ailleurs : c'est être avec ses des "copains" -ceux avec qui on partage le pain...
Bonjour Aurélia, attention :-) pain n'est ce pas aussi païn au sens de pays? la solitude est possible, il suffit de suivre son ombre. Merci Aurélia: à bientôt silicone le veut:thibault
Mer-silicone !
L'ombre de la solitude se suit comme on voyage: est-il possible de voyager_ ailleurs qu'à la "merci-d'l'icône"? cette solitude sans remède n'est-elle pas encore l'ombre du retour à l'éternel?...
Vivement la fin-du-monde!...
La riqueza sería tener tantas interferencias que uno vive sin enterarse.
Inter-ferido, et même sans la blessure...
Enregistrer un commentaire