Alors ?
Tu t'es encore faite avoir par la Chimère ?
Encore une fois ?
Tu ne comprends donc pas ?
Tu ne comprendras donc jamais ?
Que jamais
Que pour toujours
Tu es l'exclue
Que ta mère
Est
Dans ta maison
Y?
Otra vez te dejaste engañar por la Quimera?
Una vez más?
No te enterás?
No te enterarás nunca?
De que nunca
De que para siempre
Sos la excluída
De que tu madre
Está
En tu casa
6 commentaires:
Aurelia!
Qué luz la tuya, en cada letra y en cada reflejo del mar!
Un beso
Mon Aurélia,
Voilà un petit cadeau de ma chère Marguerite qui parlera beaucoup mieux que moi:
"Toute vie est ponctuée de morts ou de départs, et chacune ou chacun cause de grandes souffrances qu'il vaut mieux endurer que de ne pas avoir connu la présence de ces personnes quand elles existaient. Mais chaque fois notre univers se reconstitue de soi-même, et nous savons du reste que lui non plus ne durera pas toujours."
Margerite Yourcenar - Les Yeux ouverts. Entretiens avec Matthieu Galey. Paris, Le Centurion, 1980, p. 231
Je t'embrasse
Chimère dis-tu Aurélia ?
On n'est jamais je crois, tout à fait seul dans "sa maison", pour autant, en est-on "l'exclue" ?
Chaleureusement.
Aurélia, no la excluida, no, estás tanto en cada cosa y las cosas tanto en ti
pero qué burrada de poema este
o no sé
ese final
esa rabia
Aurélia.
Ma belle Aurélia!!
Todavía estoy mirándote, detenido en tu danza llena de fuerza y feminidad.
En ese momento, en el que tu cuerpo hablaba y tus ojos cerrados llenaban el escenario de magia.
Un fort bisous
Gente entrañable... Gracias por haber aparecido por acá. Gracias por vuestra presencia de alma y palabra. Todos vosotros, creo, sois, pedazos de mi propio corazón... Y no es poesía esto!!!
Viky, gracias por la luz, Juan, las palabras de tu Marguerite... qué a propósito, qué sabiduría, qué amor... Larita, no sé de la burrada, pero de los golpes y de unos sueños que dejan lágrimas en el rostro de carne que despierta... Germán, mil gracias por haber estado ahí cuando bailaba, gracias por tu emoción tan entusiasta...
Albertine, parfois la maison est tellement pleine qu'elle nous jette dehors ("l'inquiétante étrangeté" de Freud)... A bientôt.
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