jeudi 17 février 2011



Et les béquilles de verre se sont cassées
Et elle n’avait toujours pas de jambes
Et elle est tombée

Absolument



Y las muletillas de vidrio se rompieron
Y todavía no tenía piernas
Y se cayó

Absolutamente


6 commentaires:

Anonyme a dit…

Bonjour Aurélia, dans le verre qui révèle le rêve vous relève; ne sommes nous pas des trans-parents?

laura a dit…

comme cela peut me parler... Bises, Aurélia.

Aurélia Jarry a dit…

C'est très beau, Thibeau.

Laura, ya, no me había dado cuenta... Pero ahora que lo decís...! Me alegra verte acá! Un abrazo muy grande

Anonyme a dit…

reBond-jour aurélia,et votre image,belle photo qui nous aiguille dans les déserts du leurre;

trovador errante a dit…

Y se volvió a levantar.

Con más contundencia

de la que se cayó.

Un beso,
Kike

natalia a dit…

http://ciclopaenlabocadeunmudo.blogspot.com/2011/02/versiones-al-viento.html

abrazo,

NL