D'une langue, l'autre: Peut-être... un printemps

samedi 21 mars 2009

Peut-être... un printemps

(Ile d'Oléron - Septembre 2008)

Tal vez... una primavera

3 commentaires:

Lara a dit…: seguro; 21 mars 2009 à 21:49
St Loup a dit…: On se croise mon Aurélia! Tu célèbres l'arrivée du printemps en même temps que je me réjouis avec celle de l'automne. Question de latitude. Ça me fait plaisir de retrouver ici. Je t'embrasse.; 21 mars 2009 à 23:26
Aurélia Jarry a dit…: C'que j'voudrais, là, tout de suite, c'est un printemps à Buenos Aires... Ya ves!!; 26 mars 2009 à 11:14

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"[...] que le fait de penser ne peut être que bouleversant ; que ce qui est à penser est dans la pensée ce qui se détourne d'elle et s'épuise inépuisablement en elle ; que souffrir et penser sont liés d'une manière secrète [...]"
Maurice Blanchot, Le livre à venir (1959)

"[...] que el hecho de pensar sólo puede ser trastornador; que lo que hay que pensar está dentro del pensamiento lo que se desvia de él y se agota incansablemente en él; que padecer y pensar están vinculados de alguna manera secreta [...]"

"J'associais la viande au suicide, parce que je m'étais évanouie devant le rayon boucherie et que la viande que j'y avais vue était meurtrie, saignante et emprisonnée dans un emballage en plastique. Exactement comme moi !"
Susanna Kaysen, Une vie volée (Girl interrupted, 1993)

"Asociaba la carne con el suicidio, porque me había desvanecido delante de la sección carnicería y que la carne que había visto estaba magullada, sangrienta y presa en un envoltorio de plástico. Tal cual como yo!"

D'une langue, l'autre

samedi 21 mars 2009

Peut-être... un printemps

3 commentaires:

THESE DE DOCTORAT - TESIS DOCTORAL (2009)

Texte intégral de ma Thèse de Doctorat

Publication / Publicación (Juin/Junio 2009)

Aurelia Jarry, en corps

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