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jeudi 17 février 2011



Et les béquilles de verre se sont cassées
Et elle n’avait toujours pas de jambes
Et elle est tombée

Absolument



Y las muletillas de vidrio se rompieron
Y todavía no tenía piernas
Y se cayó

Absolutamente

à

6 commentaires:

  1. Anonyme18 février 2011 à 14:23

    Bonjour Aurélia, dans le verre qui révèle le rêve vous relève; ne sommes nous pas des trans-parents?

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  2. laura18 février 2011 à 20:55

    comme cela peut me parler... Bises, Aurélia.

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  3. Aurélia Jarry19 février 2011 à 00:13

    C'est très beau, Thibeau.

    Laura, ya, no me había dado cuenta... Pero ahora que lo decís...! Me alegra verte acá! Un abrazo muy grande

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  4. Anonyme21 février 2011 à 14:34

    reBond-jour aurélia,et votre image,belle photo qui nous aiguille dans les déserts du leurre;

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  5. trovador errante24 février 2011 à 09:58

    Y se volvió a levantar.

    Con más contundencia

    de la que se cayó.

    Un beso,
    Kike

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  6. natalia25 février 2011 à 16:09

    http://ciclopaenlabocadeunmudo.blogspot.com/2011/02/versiones-al-viento.html

    abrazo,

    NL

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